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Portrait #5 : Marie KRAWEZYK (Membre du bureau)

– Ton lieu de résidence ?
J’habite à Sainte Hélène.
– Ton métier ?
Je suis conseillère en insertion professionnelle,  et actuellement conseillère placement, mais j’ai aussi une formation de comptable.
– Depuis quand pratiques-tu la course à pied et pourquoi ?
J’ai commencé de trottiner seule quand j’ai arrêté la cigarette donc en 2017. Mais je cours depuis fin 2021.
– Depuis quand as tu adhéré à Courir Moroges et pourquoi ?

Je suis arrivée à Courir Moroges en octobre 2021, grâce à ma copine Marielle et son chéri Stéphane SIGNORET. Un samedi soir ils ont échangé tous les 2 sur mon cas 😄 et Stéph a téléphoné en me disant : « tu prépares tes affaires, je passe te prendre demain matin pour que tu cours avec nous….! »

– La course ou moment sportif que tu as préférée ?
Serre Ponçon avec les Xenas mais j’avoue une petite larme quand je suis arrivée avant la barrière horaire sur mon premier 50 kms.
– Tes objectifs à venir ?
Continuer à prendre du plaisir à courir avec vous. Et sinon, j’aimerais refaire un 50 ou 60 kms…Et le 42 des passerelles avec les Xenas 😍
– Quelle est la première chose que tu aimes faire après une course ?

Ben boire un coup, discuter et rigoler avec les copains.

Ton moment préféré de la journée pour pratiquer la course à pied ?

J’avoue que j’aime bien le matin avec des levers de soleil, le jour qui apparaît…une journée qui commence bien quoi.

– Quel(s) autre(s) sport(s) pratiques-tu ?
J’ai pratiqué la GRS à un bon niveau avant de m’éclater au handball.
En arrivant sur Moroges dans les années 90, j’ai joué au football avec les copines.
Je nage un peu (Enfin pas en ce moment), et du vélo quand il fait beau.
– Une chose à rajouter (commentaire, devise, anecdote) ?
J’ai rencontré une belle famille qui me permet d’aller de l’avant. Je remercie Stéphane SIGNORET d’avoir appelé ce samedi soir, et les plus proches de moi qui m’apportent tellement. Comme François, je pense que cette association regroupe de belles personnes. C’est un vrai plaisir de partager ce sport avec des vieux, oups pardon, des expérimentés, et des plus jeunes. J’attends le semi de la côte chalonnaise, à faire en festif, en espérant que les déserteurs de 2022 seront présents cette année. Oui, car si je cours, c’est pour continuer à apprécier les bonnes choses de la vie comme un bon verre de vin rouge.